Artiste marocain actuellement basé aux Pays-Bas. Bayri a obtenu son baccalauréat en arts et design à l'Escola Massana de Barcelone et est étudiant à la maîtrise en design et technologie des arts médiatiques au Frank Mohr Instituut qui a exposé à l'échelle internationale. L'artiste multimédia adopte une approche multidisciplinaire de son travail en utilisant une variété de médiums incluant la musique et les sons. Son art fonctionne dans un cadre philosophique, socio-politique, mais exécuté d'une manière spirituelle qui est loin d'être aliénante.

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site pesonnel : https://www.salimbayri.com/

Durant plusieurs années, Amina Benbouchta a développé un corpus d’oeuvres qui trouve sa source dans l’exploration des limites de la peinture, transformant concepts et observations en image, sculpture et installation. La diversité des médiums qu’elle explore permet d’analyser pleinement la complexe structure sociale de la vie contemporaine.

Benbouchta est née à Casablanca (Maroc) en 1963, vit et travaille entre Paris et Casablanca. Après l’obtention de son diplôme en Anthropologie et Études du Moyen-Orient à l’Université McGill, Montréal en 1986, elle suit les cours de divers ateliers de dessin, lithographie et gravure à Paris. Elle est également auditeur libre à l’Ecole Nationale des Beaux Arts de Paris de 1988 à 1990. Durant les années 1990, ses préoccupations artistico-culturelles l’ont amenée à créer et diriger le magazine mode et culture « Les Alignés ». En 2005, elle co-fonde le Collectif 212, organisation vouée à défendre l’émergence d’une nouvelle phase de l’art contemporain au Maroc.

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site personnel : http://www.aminabenbouchta.com/

Né à Casablanca en 1984, où il vit et travaille, Youssef Ouchra a fait ses études en graphisme et en ci- néma.
Son travail est multidisciplinaire et intègre l’art de la performance à celui de l’installation et de la vidéo. A la fois collaboratif et indépendant, il explore des champs de création extrêmement variés. Sa pratique concerne l’idée fondamentale de l’humain et son rapport aux formes et rituels, son évolution dans le monde moderne.

Il questionne les interactions du corps avec ce monde qui détache l’humain de sa nature.
Il s’interroge sur l’impact des gestes répétitifs du quotidien.
Que devient la nature première de l’être humain et comment évolue-t-elle dans notre société actuelle, totalement connectée ? Quelle est la puissance et l’influence sur notre esprit, du flot perpétuel de mes- sages diffusés par les médias et qui intègrent de plus en plus toutes nos actions quotidiennes ?
Il rassemble notamment les thèmes de la consommation, des systèmes d’information et du travail, en soulignant cette médiocratie qu’ils imposent à l’humanité.
A travers ces problématiques, Youssef Ouchra démontre qu’il est un artiste du temps présent et incite le spectateur à réveiller les parties de sa conscience qui auraient pu être endormies par la force du conditionnement.
Youssef Ouchra est également un artiste engagé, il dénonce les raisons qui nourrissent les conflits de notre monde.
Prise de conscience plutôt que critique, son travail partage à travers ces questionnements sa vision de l’humain dans l’état brut, pris au piège d’une société où nous sommes, bien malgré nous, tous intercon- nectés.

Né en 1981, Simohammed Fettaka est un artiste pluridiscipli- naire de nationnalité Marocaine.
Il intègre en 2007 l’université d’été de la Femis (Ecole Nation- ale Supérieure des Métiers de l’Image et Son) puis fonde en 2008 le festival Cinéma Nachia à la cinémathèque de Tanger. Il réalise des documentaires ainsi que des vidéos expérimen- tales qui questionnent de manière récurrente les rapports entre représentation, individualité et politique.

En parallèle de son travail filmique, il développe une pratique plus globale d’artiste visuel, s’incarnant dans des séries photographiques, des collages, des installations, ainsi que des pièces sonores, régulièrement exposés en France et à l’international. Ses travaux ont été présentés au sein de nom- breuses expositions collectives parmi lesquelles : Muhka Ant-werpen (Anvers, Belgique), Artiste en focus Hors Pistes, Cen- tre Pompidou, Paris (France), Old Truman Brewery, London (Grande-Bretagne), Singapore Art Fair à Singapour, la galerie Dominique Fiat avec CulturesInterface, Paris (France)... Il a participé à plusieurs Résidences, Cologne (Allmagne), Paris (France), Sénégale (Dakar), Florence (Italie)...

Depuis septembre 2013, Simohammed Fettaka a poursuit un master “Programme d’expérimentation en Arts et Politiques” sous la direction de Bruno Latour à l’Institut d’études politiques de Paris (Sciences Po). Il répond à une commande publique artistique à Bordeaux dont le commissariat est assuré par Catherine David.

Artiste belge multidisciplinaire vivant et travaillant à Marrakech, au Maroc. En utilisant les voyages comme méthode de travail, Van Dyck permet des espaces de réflexion profonds lors de la traduction de son travail de terrain en installations multimédias, performances textuelles, vidéos et publications, collaborant souvent avec d'autres artistes et différents médias. Sa pratique réfléchit sur des rituels abordant l'éclatement de la relation entre sujet et objet, nature et culture, humain et non-humain, concept et matière, réalité et fiction. Van Dyck est le fondateur de JUJ laboratoire d'échanges intimes extra-disciplinaires à Marrakech. Dans ses recherches sur la relation humaine avec les montagnes, elle a effectué des résidences à travers le monde, elle a montré et interprété son travail sur la place Jemaa el-Fna à Marrakech, les Furkapas dans les Alpes suisses, une halte équestre sur le cheval de thé trail en Chine, sa chambre, les gorges du Todra au Maroc.

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site personnel : https://www.hannevandyck.com/

Né à Ksiba au Maroc, en 1967, Mohamed El baz est diplômé en arts plastiques de l'Ecole Régionale d'Art de Dunkerque en 1989, il obtient en 1992 le diplôme supérieur d'expression plastique à l'Ecole Nationale Supérieure de Paris. Il suit également les cours de l'institut des Hautes Etudes en Arts Plastiques à Paris. Mohamed El baz vit et travaille à Casablanca au Maroc et à Lille en France.

Depuis 1993, Mohamed El baz réalise un projet intitulé « Bricoler l'incurable». Clé d’un imaginaire ouvert et infini se déclinant à travers des installations complexes et toujours explosives ; autant de composants ou “détails” se retrouvent d’un lieu à un autre et s’adaptent à chaque nouveau concept.

Son œuvre possède trois orientations au travers desquelles Mohamed El baz transgresse les frontières et les catégories: le quotidien, l'autobiographique et le ludique ; l'œuvre elle-même devient nomade et se mue en une autre histoire. Mohamed El baz s’interroge sur les notions de frontières et territoires et tout ce qui travaille à ériger des barrières entre les individus.

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site personnel : http://mohamedelbaz.com/

Vit et travaille entre Casablanca et Berlin. Sa pratique artistique se développe selon trois axes (la performance en tant qu’espace de réflexion, la réalisation d’installations en tant que résultat de l’acte de la performance et la photographie et le dessin en tant qu’archives) et repose sur une relation critique avec les champs de l’art, ses acteurs et sa géopolitique. Il a exposé ses travaux à la Casa Encendidia de Madrid, au Musée d’Art Contemporain de Rome, au projet parallèle de la Biennale de Venise en 2011, à l’Institut du Monde Arabe à Paris, au Musée d’art Moderne & Art Contemporain Mohammed VI à Rabat, au Centre des Arts de Headland à San Francisco et au Massmoca Museum à Massachusettes. au British Museum et au Mucem à Marseille.

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site personnel : http://www.atbaneyouness.com/